lundi 5 janvier 2009

Superstition quand tu nous tiens... #3

N°1 : Enjamber quelqu’un.

Alors si un jour, tu souhaites te disputer avec un antillais. C’est bien simple, si tu en as l’occasion, tu l’enjambes. Je pense que si il existe aux Antilles, 2 familles aussi rivales que dans la pièce « Roméo et Juliette », l’inimitié n’a pu naître que parce qu’un « Montaigu » a du enjamber un « Capulet ». C’est certain.


Pourquoi, il ne faut pas enjamber quelqu’un ?


J’entends le fayot du premier rang qui me dit : « C’est une question de politesse comme en Thaïlande ».

Alors, 1, tu te tais car c’est mon histoire.

Et 2, tu dis n’importe quoi...


Bien que j’aurai bien aimé car ça m’aurait permis d’avoir l’air moins con en te disant que : c’est un sort jeté pour empêcher de grandir.

Oui, oui tu lis bien ! Harry Potter accroche toi bien à ta baguette, les antillais ont arrêté le zouk pour la magie !


On résume, enjamber une personne, c’est l’empêcher de grandir. Donc ça ne « marche » QUE sur les enfants. Vrai mais dans le doute de rétrécir, j’évite de me faire enjamber. On ne sait jamais, ça m'embêterai de me retrouver avec une jambe plus courte que l'autre. J'aurai une belle démarche de racaille mais je serai penché sur les photos de groupe. Relou quoi !


Bon à la maison, par mégarde, tu enjambes ton fils. Ne panique pas. Tu peux ranger le numéro de ton exorciste préféré, ton miroir brisé pour sacrifier ton chat noir, tes trèfles à 4 feuilles pour nourrir ton fils ou tes fer à cheval pour lui en faire un collier. Je te donne LA solution pour conjurer le sort. Elle est simple. Tu le ré enjambes dans le sens inverse où t’es venu. Ouf !


Ah oui, au fait. C’est pourquoi dans ma famille, il est avéré que Nicolas Sarkozy n’est pas de petite taille mais on l’a simplement enjambé !

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